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Alice, une salope suisse à Fribourg.

  • anniv45
  • 3 nov.
  • 7 min de lecture
Salope suisse
Salope suisse

En écrivant ce témoignage, j'ignore si certains auront envie de me juger, ou si on me traitera de salope ou de libertine, mais il y a une chose dont je suis certaine c'est que mon récit "tabou" fera bander des bites et pour une vieille cochonne comme moi ce n'est déjà pas si mal. Mon prénom c'est Alice, je suis divorcée depuis 7 ans, j'ai 58 ans, j'habite à Fribourg en centre-ville et je suis responsable hôtelière, dans un bel établissement de ma région. Mon physique pulpeux attire souvent les regards, il faut croire que mes décolletés plongeants et mes jupes trop courtes font envie.

Depuis mon divorce j'ai retrouvé une totale liberté. J'aime mon métier, je m'y sens bien épanouie, et pour l'aspect privé de ma vie, je vois régulièrement mes enfants et mes petits enfants, je fais pas mal d'activités en leur compagnie. Cependant ma véritable passion c'est le sexe ! Mon ex mari n'a jamais été porté sur le sexe, depuis que je me suis libérée, j'enchaîne les coups d'un soir, sans me prendre la tête car à mon âge je ne souhaite plus me remettre en couple, j'ai juste envie de prendre mon pieds, de m'envoyer en l'air et de bien jouir. Les relations longues m'ennuient, je préfère les plans sexe, les rencontres discrètes.


Il y a quelques mois, ma sœur m'a demandé de faire jouer mes relations pour trouver un travail à ma nièce Alexandra qui a 26 ans et qui est toute jeune mariée. Je recherchais une réceptionniste polyvalente, elle a rejoint mon équipe et j'en suis ravie car elle est souriante et agréable, ce qui est parfait pour ce poste. Nous sommes proches bien entendu, mais nous ne nous voyons pas tous les jours puisque nous n'avons pas les mêmes horaires. Il lui arrive de faire des horaires de nuit, moi je n'en fais que très rarement. Généralement c'est son époux Maxime qui 28 ans et qui est menuisier qui la dépose et viens la récupérer à la fin de son service. C'est un garçon charmant apprécié de tous dans la famille, qui n'hésite pas à rendre service. Quand j'ai dit à ma sœur que je n'avais encore trouvé personne pour couper mes haies elle m'a envoyé son gendre, l qui a fait le boulot rapidement. C'est un beau garçon, grand et plutôt enrobé, châtain clair aux yeux verts, courageux et sérieux. Je l'avais rencontré à plusieurs reprises aux derniers repas de famille, il m'avait semblé un peu réservé et discret.


Et pourtant le jour où il s'est pointé pour tailler les haies, il était différent, plus souriant, j'ai même eu la sensation qu'il me matait un peu. Bref, le boulot fini, je lui tendis un coca d'une main et de l'autre 100 francs qu'il accepta le sourire aux lèvres. Au moment de se dire au revoir il me dit : "j'ai vu au fond du jardin quelques trucs à jeter et aussi des planches à remiser si vous avez un peu de place dans le cabanon du jardin, je peux m'en occuper". On se donne rdv pour le samedi suivant, il précise qu'il viendra tôt le matin. Je jette machinalement un œil sur le planning, il doit venir à 8 h et c'est sans doute parce que ma nièce Alexandra travaille à la réception de 7 h à 15 h. Je l'ai regardé tailler les haies, franchement j'aime bien son corps massif, on a bavardé un peu quand il a bu son coca et j'ai bien senti qu'il regardait mes seins. Il ne s'en cachait pas, je pense que si je lui en laisse la possibilité il me culbutera. Suffit d'attendre quelques jours. Le samedi du rendez-vous il s'est pointé plus tôt, j'avais tout calculé, sorti mon déshabillé le plus transparent et court aussi car j'avais décidé de me taper le mari de ma nièce.


J'enfile mes mules d'intérieur à hauts talons et me sauve dans l'entrée pour lui ouvrir. Excitée de savoir qu'il me suit dans le couloir menant à la cuisine et que je suis entièrement à poil à remuer mes fesses devant lui. J'ai envie de faire sortir Maxime de sa réserve. Mon dernier plan cul à Fribourg, date de deux semaines et j'ai besoin d'un coup de bite. Il est là, autant profiter de cette opportunité. Je lui propose un café qu'il accepte sourire aux lèvres en m'expliquant qu'il est venu plus tôt car il devait déposer Alexandra au travail. Je prépare deux expressos, il est à quelques mètres de moi, je me tiens de dos, conscience que mon déshabillé transparent que j'avais acheté pour cette raison, offre la vue de mon corps aux rondeurs charnues (je mesure 1m64 pour 75 kg avec un 90E pour mes gros lolos) Machinalement je fais couler le café, mes tétons se tendent, j'ai une chaleur forte qui envahit mon corps de savoir qu'il me voit nue devant lui.


Je me retourne et le regarde droit dans les yeux et décide de le chauffer, ses yeux matent volontairement mes gros seins lourds qui remuent en dardant mes tétons à présent pointus. Je lui demande si on peut se tutoyer il me répond que oui, prends son café sans me quitter des yeux, je lui souhaite bon courage et l'informe que je vais prendre ma douche, et que s'il a besoin de quoi que ce soit, je serais dans ma chambre. Le piège se referme doucement. Je suis sous la douche, je me savonne en prenant mon temps. Si on m'avait dit un jour que je transgresserais les lois familiales je ne l'aurais pas cru. Et pourtant je suis en train de braver les interdits, mais pour baiser je suis sans foi ni loi. Certes Maxime n'est pas de ma famille mais c'est le mari de ma nièce, et pourtant ça ne m'arrête pas, c'est tout le contraire. Je me sens comme une vieille cochonne attendant sa friandise, je me dis qu'il faut vraiment être une salope pour se taper le mec de sa nièce mais s'il me rejoint, je ne l'aurais pas forcé.


Je sais qu'il ne tardera pas. J'attrape la tablette et clique sur un site porno pour m'échauffer un peu. Trente minutes ont dû s'écouler depuis la douche quand j'entends le bruit de la porte de la terrasse. Le voilà. Il se tient debout devant la porte de ma chambre, il me regarde, ses yeux sont brillants, il ouvre sa braguette et sors sa bite, laissant tomber son pantalon à ses pieds. C'est une belle queue bien longue, le gland violet et gonflé me fait saliver. Il doit s'en rendre compte car il s'approche de moi en disant d'une voix rauque : "Pompes-moi !". Je me rut sur son gland et avec des bruits gourmands je me mets à le sucer pleinement, faisant rentrer tout son sexe entier bien loin, je le sors, je le rentre, je l'aspire sous son regard, il écarte mes cheveux pour mieux voir ma bouche de mature vicieuse le sucer. Son sexe continue à gonfler et à grossir, à présent il dépose ses couilles sur ma bouche et me dit : "Mange mes couilles" ! .


J'adore la façon dont il me parle, je me sens à cet instant telle une chienne soumise attendant qu'on la baise. Je recrache de la salive pour faire glisser ses couilles dans ma bouche, contre mes lèvres. Hum c'est délicieux, sa peau est douce, son corps costaud, il me soulève facilement et me pousse sur le lit, écarte mes cuisses avec son genou, se penche sur moi, dépouillé de ses vêtements, et se met à claquer doucement mes gros seins qui vibrent sous sa main, hum quelle extase, il se met à les aspirer bruyamment et très fort, je gémis comme une truie tant c'est bon. Il me dit : "T'aimes ça hein vieille salope"... Je réponds que oui pendant qu'il enfonce deux doigts dans mon vagin trempé. Puis trois doigts, en faisant des vas et viens dans ma chatte, puis il présente ses doigts devant ma bouche en lançant : "Lèche ta mouille grosse cochonne" ! Encore une fois je m'exécute, ma langue suce ses doigts avec plaisir, son regard brillant me lâche pas. Il continue à me doigter avec plusieurs doigts, comme s'il se servait d'une bite, tout en pinçant mes tétons durcis, jusqu'à ce que mes râles de plaisir lui viennent aux oreilles, il accélère me faisant jouir de bonheur assez rapidement. Mon ventre ondule pour appeler sa bite. Il me réclame un préservatif, je me retourne pour en prendre une boite dans ma table de nuit, il en profite pour me foutre deux bonnes claques sur les fesses avant de me demander : "A quatre pattes, allez je vais te mettre ma bite ma truie humide".


Je suis sur un petit nuage bien hard, je sens que je vais être servi, je suis en position levrette quand ça queue s'enfonce en moi d'un seul trait, d'un coup sa longue bite est en moi, il remue ses hanches en grognant, essayant d'aller le plus loin possible dans mes entrailles, des claques énergiques pleuvent sur mes fesses dodues, le plaisir monte en moi, je l'entends dire : "Hum elle est bonne ta grosse chatte, allez remues bien ton cul énorme". Etant ronde, mes seins ballottent dans tous les sens pendant qu'il attrape mes cheveux en rajoutant des paroles salaces : "Je savais que t'étais un bon vide-couilles". Sa bite mêlée à ma mouille fait des bruits excitants chaque fois qu'il la ressort de ma chatte, comme c'est bon de se faire ramoner par un jeune en pleine force de l'âge. Au bout d'un moment il se retire de mon trou béant qu'il a ramoné un long moment en me faisant gémir à fond, enlève sa capote. Je m'allonge sur le dos et il s'accroupi à hauteur de mon cou puis tape mon visage en douceur mais fermement avec sa bite encore mouillée de foutre blanc odorant. Il ne connait pas mon corps et pourtant il m'a fait jouir très vite, un bon coup le gendre de ma sœur, digne de mes plans culs à Fribourg.


Il écarte de nouveau mes cheveux pour bien voir ma bouche engloutir sa queue qui bande encore très dur. Je suffoque quand il s'enfonce au fond de ma gorge. Je m'étrangle avec, la repousse avec ma langue mais il s'en moque, il bloque me visage et m'ordonne de le pomper : "Allez vieille cochonne je sais que ça te plait de me bouffer la bite". Je pompe sa bite jusqu'à la garde, m'étrangle plusieurs fois, et la remet à chaque coup dans ma bouche pour recommencer jusqu'à temps qu'il commence à gémir bien fort, forçant l'entrée de ma bouche super vite, allant le plus loin possible au fond où là son corps se secoue pendant quelques secondes avant qu'il répande dans la profondeur de ma gorge tout son jus épais et tiède. Il se lève, va terminer le travail. Vers 11 h, il frappe au salon, je lui fais signe de rentrer, il m'informe qu'il a fini. Je le remercie et au moment de lui dire au revoir, il se penche vers moi, refuse les billets que je lui tends, et me dis : "Trouves moi quelque chose à fin pour samedi prochain". Oups je viens encore de mouiller.



 
 
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